la Modification de MICHEL BUTOR

Publié le par R.aicha

MODIFICATION, LA

                                                    "texte à l'image"
La fresque  de ce roman la Modification s’ouvre sur un personnage Léon Delmont, au cours d’un voyage en train de Paris à Rome, passe en revue les différentes étapes de sa vie familiale. Il pense à sa femme, Henriette,ses enfants, alors qu’il va regagner à Rome sa jeune maîtresse, Cécile. Il est fermement décidé à rompre avec son épouse. Le trajet du non retour.

Les fragments des images de Paris se superposent aux souvenirs romains, tantôt l’espace de la "Ville éternelle envahit", dans les rêves du narrateur, le paysage parisien. Il habite à proximité du Panthéon; la Madeleine, l’arc de triomphe de l’Étoile et bien d’autres monuments encore entretiennent cette confusion avec la Rome antique. Le narrateur laisse vagabonder son imagination. Dans le compartiment où la nuit devient de plus en plus sombre, les lieux, les êtres se confondent. La réalité se dissout ou se modifie.

  Les frontières sont confuses. L’œuvre est l’élément qui sert du rêve dans cette perception  qui réunion et désigne les principaux mythes mis en œuvre dans le récit

                                             

      Le projet est on état d’accomplissement, cette quête de sois on quittant le monde de profana vers un autres monde, une destination inconnu

On est on présence d’Un personnage perdu, enfermé dans son monde, il décide  de partir  à la recherche  du son âme, seul, dans se trajet de vie  .entre réel et rêverie, il suit ce chemin vers l’inconnu verts son destin et Emporté par le temps,  la trajectoire entre  le monde des vivants et le monde des morts, va projeter notre héro un conflit ,un danger la descente aux enfers       le voyage va suivre des étapes préliminaire. On témoigne les  passages et les fragments vécus a la fois par Léon et Enée dans les pages suivant :198-214-215-230-234-262-263. 


« le pas est franchis mais non point celui là que vous aviez pensé franchir  en t ce train, un autre pas l'abondant de votre projet sous sa forme initiale qui vous paraissait si claire et si solide, l’abondant de cette figure lumineuse de votre avenir vers la quelle vous aviez décidé que vous emportez cette machine une vie d'amour et de bonheur à paris avec Cécile  calmement raisonnablement il vous faut maintenant ne plus y penser ».cf.p198


Ses deux voyages sont lier et complémentaire les deux héro Enée et
notre personnage Léon Dlémont. Les deux héros vont faire le même parcoure ,  réalisent les  même rencontres  « s'il sent alors une fumée c'est qu'il doit y avoir quelqu'un vivant dans cette grotte. »cf. page214 . la présence d’une grotte   il rencontre la sibylle une veille femme immobile savante,  qui possède la faculté des  voyantes .troubler, niant il avoue qu’il cherche seulement  le chemin du retour.  .la sibylle lui présente comme dérision des gâteaux brûles, c’est une constatation purement ironique dans la sens  où le tableau ne livre aucun signe de vie.

La suite du trajet va se faire seul ou le protagoniste indécis,  monte dans la baraque guider par un  vieillard  (qui n’est autres que Léon) sachant que c’est un aller sans retour. " Tu vas à Rome,  je te connais, il n'est plus temps de reculer, je t'y mène" cf. page 215 dans son itinéraire dans le monde des mort il va rencontre deux corbeau  croyant qu’il fait parti des cadavres .le héro Enée a était guider tout au long de sa descente on enfer par  la sibylle des Cumes .

 A semi rêve il est on présence de la fameuse porte principale, dans sa route il rencontre un vieux  qui cherche un livre  " que j'ai perdu, le seul bagage que j'ai en ma possession " P230.« ." Il  parvient à une bifurcation ou les gens en robes blanches portent des cadavres en chantant des  cantiques". P 234.  L’homme de deux visages lui ouvre la porte et la ferme derrière lui donnant une lampe.

 « toi aussi tu vas a la recherche de ton père a fin qu'il t'informe sur  l'avenir de ta race. »,cf. page 215 

     A la fin Enée réussie sa mission il  rencontre son père qui  l'enseigne sur  la race humaine, puis retourne à la terre après avoir accomplit sa tache, par contre notre Léon sera condamné,  jugé par la race humaine   


A travers cette histoire, Butor veut ne faire vivre cette situation avec le lecteur mettra le doigt sur la problématique culturelle et  religieuse
c’est une constatation purement ironique dans la sens  où le tableau ne livre aucun signe de vie. .et il finira alors par affronter son double héritage dans la douleur et la clairvoyance, ce qu'il provoquera l’abandonnent  de  se projet tant voulu par Léon celui  de ramener Cécile à Paris. Donc cette prise de conscience c’est faite grâce a se voyage incitatif qui la conduit vers son destine s’éloigner de  paris vers paris. Avec tout se qu’elle a de charge culturel.

 Butor a toujours été influence par l’art plastiques et par la création  ,grâce a ses divers voyages accompli, ou il a suit une thérapie de recoule de contemplation  pour mieux médite sur l’art  et sa beauté, et cela et vu a travers ses écrits.

 

Publié dans l'art

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